Savoir-faire
Merci de ne pas supprimer cette page !
Aucun contenu présent ici ne sera visible, mais elle contribue à la bonne mise en page du site.
Toutes nos qualifications garantissent la qualité de notre savoir-faire.
Depuis 2014, l'entreprise LELU est reconnue Garante de l'Environnement.
1522 | Traitement curatif contre les champignons lignivores, dont la mérule |
1532 | Traitement curatif contre les insectes à larves xylophages |
2313 | Fourniture et pose de charpente traditionnelle |
2323 | Fabrication et pose de charpente traditionnelle |
3101 |
Couverture en tuiles à emboitement ou à glissement (technicité supérieure) |
3123 |
Couverture en tuiles plates (technicité supérieure) |
3143 |
Couverture en ardoises de schiste ou fibre ciment (technicité supérieure) |
3153 |
Couverture en métaux sauf plomb (technicité supérieure) |
3163 |
Couverture en plomb (technicité supérieure) |
3183 |
Couverture en plaques nervurées ou ondulées (technicité supérieure) |
3194 | Couverture des Monuments Historiques |
Une de nos spécialités pour prendre soin de votre bien tout en respectant les contraintes de l'ovurage initial ainsi que son passé historique.
Le suivi des formations au service du développement personnel.
Niveau supérieur d'un ouvrage de maçonnerie, généralement mis bien à plat, servant de base pour la suite de la construction.
Ligne saillante formée par la rencontre de deux pans de couverture.
Pièce de grosse toile ou de matière plastique dont on couvre quelque chose pour la protéger des intempéries.
Garde-corps surmontant une allège basse.
Revêtement établi suivant les principes et les techniques de couverture et protégeant une surface verticale.
Substance composée d'un mélange d'hydrocarbures, très visqueuse (voire solide) à la température ambiante et de couleur noire.
Endroit où le vrai comble se joint au faux dans une couverture brisée dite à la mansarde.
Partie rigidifiant horizontalement ou verticalement un mur en appareil de brique, de pierre taillée ou de blocs en béton .
Couche de mortier à base de ciment, de chaux ou de terre-argile appliquée au sol, destinée à aplanir, niveler ou surfacer un support et/ou enrober des éléments.
Cadre rigide ou mobile fait d'une matière résistante, destiné à entourer ou supporter quelque chose.
Châssis vitré ayant la même pente que le toit dans lequel il est fixé. C'est une fenêtre percée sur un toit (directement intégrée ou sur une costière dont le châssis, en bois ou métallique d’une seule pièce,s’ouvre par rotation (châssis oscillant), par rotation et/ou projection panoramique (châssis à tabatière).
Petit ouvrage ou tuile spéciale pour ventiler sous-toiture et support de couverture.
Conduit en pierre, en terre cuite, ou en métal (généralement en zinc) collectant les eaux pluviales à la base de la toiture, des combles ou entre deux versants , pour en permettre l'évacuation par les tuyaux de descente ou les gargouilles .
Pièce de bois équarrie soutenue par des pannes, et qui supporte des liteaux, lambourdes ou voliges .
Est à l'origine d'une lucarne de petite dimension propre aux toits à faible pente, couverte par un rampant unique en pente inverse de celle du toit, destinée à assurer principalement une fonction de ventilation. Le chien assis est l’équivalent d’une lucarne retroussée ou « demoiselle ».
Système statique destiné à assurer la stabilité globale d'un ouvrage vis-à-vis des effets horizontaux issus des éventuelles actions sur celui-ci (par exemple : vent, séisme, choc, freinage, etc.). Il sert également à stabiliser localement certaines parties de l'ouvrage (poutres, colonnes) relativement aux phénomènes d'instabilité (flambage ou déversement).
Joint au mortier de deux faîtières posées bout-à-bout.
Partie d'un comble qui couvre le mur de pignon d'un édifice, et qui est terminée par deux arêtiers.
Désigne l'extrémité inférieure d'un tuyau de descente en fonte , simplement coudé ou qui à pour ornement une espèce de tête de dauphin .
En menuiserie, le « dormant » désigne tout ouvrage qui n'est pas mobile;
C'est le bâti d'une porte, d'une fenêtre, qui est arrêté dans la feuillure de la baie, et qui porte les battants ou vantaux qui y sont « ferrés ».
Le « châssis dormant » est celui d’un vitrage fixe, il ne s'ouvre pas.
Egout est une ou plusieurs lignes par où se déverse le ruissèlement des précipitations, hors du bâtiment. C'est une limite de l'ouvrage dont l'inclinaison sur le niveau est supérieure à 90°. L'eau afflue vers l'égout, le suit ou le traverse, selon qu'il est conçu pour la récolter et la canaliser, ou non.
Mortier de calfeutrage entre les tuiles de couverture et les tuiles faîtières, et de jointoiement entre ces dernières.
Nettoyage des mousses, lichens et algues se développant sur la couverture.
Ouvrage en terre cuite façonné à la demande ou pré façonné, recouvrant l'extrémité du poinçon et présentant souvent un caractère décoratif. On dit aussi un poinçon.
Dans la construction, l'étai est une pièce de charpente en bois et/ou en métal destinée à soutenir provisoirement un édifice ou une formation en matériau naturel. L'étaiement indique l'action qui consiste à poser une telle pièce ou installer des éléments de soutien ou de renfort qui s'y apparentent.
Pièce maîtresse de charpente reliant horizontalement l’angle supérieur des fermes et sur laquelle s’appuient les chevrons
Élément en terre cuite assurant l’étanchéité au faîtage. Dans la pose à sec, elle assure également une excellente ventilation. Un afaîteau (ou enfaîteau) a une moindre section qu’une faîtière.
Elément d’une charpente non déformable supportant le poids de la couverture d'un édifice avec un toit à pentes. De forme triangulaire pour un toit à deux versants comme pour un toit à quatre versants « deux étaux », cette partie vitale de la charpente est placée perpendiculairement aux murs gouttereaux.
Les fermes sont faites de bois et/ou de métal. Elles sont reliées les unes aux autres par l’intermédiaire de pièces longitudinales appelées pannes.
L'ensemble porte la couverture jusqu'au faîte d’un comble.
Angle rentrant situé sur la face ou le long d'une planche de bois ou d'un élément de charpente servant à fixer ou à recevoir le bord d'une pièce.
Couverture pyramidale ou conique, développée en hauteur, qui couronne un clocher, la croisée d'un transept (architecture médiévale).
Couronnement (d'une façade, d'une baie, d'un meuble…) de forme triangulaire ou arquée sur base horizontale, généralement plus large que haut, fait d'un tympan qu'entoure un cadre mouluré.
Se dit d’une tuile plate, dont le dessus se creuse dans le sens de la largeur.
Est un ensemble d'éléments formant une barrière de protection placée sur les côtés d'une toiture terrasse ou à tout autre endroit afin d'empêcher une chute accidentelle dans le vide.
Débris résultants de la démolition ou de la construction des bâtiments .
Angle du plan du versant avec le plan horizontal.
Élément architectural, qui sert à soutenir les matériaux du mur au-dessus d'une baie, d'une porte, ou d'une fenêtre. Le linteau peut servir de base à un tympan et un arc de décharge peut être placé au-dessus du linteau pour reporter le poids du mur au-dessus sur les jambages et décharger ainsi le linteau.
Pièce de bois de section rectangulaire débitée par sciage (s’il est refendu il s’appelle latte), clouée sur les chevrons pour accrocher les tuiles. Egalement pièce métallique, cornière en général.
On nomme ainsi toute baie ouverte dans un comble pour donner du jour aux chambres en galetas et greniers qui y sont pratiqués –
Leurs différentes façons déterminent leur nom :
- Lucarne flamande ou à chevalet - Lucarne qui à deux longs pans sans croupe sur le devant
- Lucarne à la capucine - Lucarne avec une croupe ou chapeau sur le devant
- Lucarne à fourrage - Grande lucarne à la capucine
- Lucarne à fronton - Lucarne dans les combles à la mansarde; son chapeau est cintré et couvert en plomb, en tuiles ou en ardoises
- Lucarne à éventail - Lucarne à chevalet ou à fronton, et qui est couronnée d'un petit égout circulaire que l'on nomme éventail
- Lucarne à demoiselle dite chien assis - Petite lucarne qui se fait au milieu du toit dont le comble est élevé obliquement: elle diffère d'une autre espèce de lucarne que l'on nomme rampante, en ce que le comble de celle-ci est dans une direction opposée, c'est-à-dire qu'il suit la pente du vrai comble.
Tuile creuse.
Arête rentrante formée par la rencontre des versants de deux toits.
Baie verticale ( lucarne) de forme ovale ou circulaire, une des sortes d’« œil ».
Petite ouverture plate, triangulaire ou ronde, fermée par une grille et insérée dans une toiture en ardoise ou en tuiles plates ajustées pour effectuer la ventilation des combles.
Qualifie une ouverture qui peut s’ouvrir; Châssis mobile d'une fenêtre, par opposition au dormant.
Tuile d’ornement, qui couronne le point de rencontre d'un faîtage et des arêtiers, des arêtiers entre eux s'il n'y a pas de faîtage, ou le sommet d'un comble conique. La matière est en général la même que celle de la couverture : terre cuite pour le toit en tuiles traditionnelles et le métal pour les toits recouvert de feuilles métalliques, comme le zinc ou le cuivre. Le poinçon se monte sur un porte-poinçon ; pièce de la même matière qui chevauche le faîtage.
Charpente : montant central de la ferme
1) Toute surface de construction qui n’est pas horizontale.
2) Pour un toit, on dit plus généralement versant, qui désigne la surface de la toiture limitée par au moins trois côtés. Un pan désigne plutôt un petit versant répétitif (tourelle, abside…).
3) Dimension longitudinale du versant.
Ligne délimitant un versant, ou ouvrage couvrant cette ligne. Elle peut être de forme quelconque, latérale, de tête, en pénétration, en arêtier, etc.
Cela désigne cependant dans la pratique une rive latérale.
Ouvrage en mortier ou bande métallique assurant l’étanchéité contre une pénétration.
Partie inférieure, massive, d'une construction, qui surélève celle-ci au niveau du sol.
Partie de couverture d'un bâtiment, faite en plate-forme, recouverte en plomb.
Nom des petites parties de couverture en plate-forme.
Marque déposée, originaire du Danemark, Châssis de toit, dont l’encadrement est dans la pente du toit et l'ouverture par le milieu et/ou par le bas.
Pan de couverture, limité en tête par un faitage, dans le bas par un égout et sur les côtés par des rives, des arêtiers ou des noues.
Merci de ne pas supprimer cette page !
Aucun contenu présent ici ne sera visible, mais elle contribue à la bonne mise en page du site.